Un martien dans la ville

Un martien dans la ville

A partir de leurs histoires personnelles, Aurélia…

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A partir de leurs histoires personnelles, Aurélia, une française à Montréal, et Federica, une italienne à Paris, s’interrogent sur ce que ça veut dire d’être un « martien dans la ville ». Pour répondre à cela, elles partent à la rencontre des gens aux identités multiples qui ont réussi à reconstruire leurs repères dans une ville qui n’était pas la leur, mais qui l’est enfin devenue.

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#3 Nicolas, un méditerranéen à l'identité multiple

Nicolas, c'est un vrai parisien, contrairement à la plupart d’entre nous qui avons rêvé de la ville lumière pendant des années avant de pouvoir s’y installer. À quoi bon, alors, l’interviewer, direz-vous ? Vous allez être surpris de la richesse dont la réflexion de Nicolas autour de l’identité fait preuve. Dans cet épisode, Nicolas se confie à propos de son rapport à ses origines italiennes et juives, mais il nous rappelle également que, en fin de compte, l’histoire familiale n’est qu’un point de départ dans notre construction et que c’est donc à nous de choisir quoi faire de notre propre patrimoine génétique. Pour terminer cette conversation si dense, Nicolas nous fait découvrir un jazzman italien, Paolo Conte, et sa chanson « Vieni via con me », qui a le pouvoir de le faire sentir le plus italien.
Le martien dans la ville est produit et réalisé par Federica Di Sario et Aurélia Crémoux.

Le mixage et le montage sont de Federica Di Sario et Aurélia Crémoux.

Dans cet épisode, vous avez pu entendre Roots de Alice Merton, Here come the martian martians de Jonathan Richman & The Modern Lovers et Vieni via con me de Paolo Conte.

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#3 Nicolas , un méditerranéen à l'identité multiple

Nicolas, c'est un vrai parisien, contrairement à la plupart d’entre nous qui avons rêvé de la ville lumière pendant des années avant de pouvoir s’y installer. À quoi bon, alors, l’interviewer, direz-vous ? Vous allez être surpris de la richesse dont la réflexion de Nicolas autour de l’identité fait preuve. Dans cet épisode, Nicolas se confie à propos de son rapport à ses origines italiennes et juives, mais il nous rappelle également que, en fin de compte, l’histoire familiale n’est qu’un point de départ dans notre construction et que c’est donc à nous de choisir quoi faire de notre propre patrimoine génétique. Pour terminer cette conversation si dense, Nicolas nous fait découvrir un jazzman italien, Paolo Conte, et sa chanson « Vieni via con me », qui a le pouvoir de le faire sentir le plus italien.
Le martien dans la ville est produit et réalisé par Federica Di Sario et Aurélia Crémoux.

Le mixage et le montage sont de Federica Di Sario et Aurélia Crémoux.

Dans cet épisode, vous avez pu entendre Roots de Alice Merton, Here come the martian martians de Jonathan Richman & The Modern Lovers et Vieni via con me de Paolo Conte.

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#2 Aurélia & Federica, deux martiennes dans la ville

Vous allez écouter un épisode bonus, dans lequel Aurélia et Federica s’entretiennent à propos de leur rapport à la ville de Paris et à la difficulté de se résumer dans une seule identité. Elles partageront avec vous leurs expériences de « voyageuses », les migrations qui ont bousculé une partie de leurs familles, ainsi que des conseils pratiques pour démarrer une vie dans un nouveau pays. A la fin de l’épisode, Aurélia et Federica se lancent le défi d’évoquer leurs pays à travers des chansons. Résultat ? Federica aime se rappeler de l’innocence perdue de l’Italie avec "La Canzone del Sole" de Lucio Battisti, alors que Aurélia se laisse séduire par les années folles de "La Bohème" de Charles Aznavour.

Le martien dans la ville est produit et réalisé par Federica Di Sario et Aurélia Crémoux.

Le mixage et le montage sont de Federica Di Sario et Aurélia Crémoux.

Les musiques entendues au cours de cet épisode sont : Roots de Alice Merton, Here come the martian martians de Jonathan Richman & The Modern Lovers , La Canzone del Sole de Lucio Battisti et La Bohème de Charles Aznavour.

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#1 Tetiana, une Ukrainienne à Paris

Aujourd'hui, nous écoutons l'histoire de Tetiana qui est ukrainienne. Nous sommes allées l'interroger chez elle, dans son salon, autour d'une tasse chaude de Uzvar, une spécialité de son pays. Elle nous a parlé d'elle, de son parcours, son immigration à Paris et sa perception de cette ville en tant qu'étrangère. Surtout, elle a essayé de définir son identité, si riche et si multiple. Elle nous parle également d'artistes Ukrainiens comme Iryna Bilyk qui chante Kraïna et Okean Elzy dont nous passerons un extrait de la chansons « Obiymy » qui comptent parmi ses « perles ukrainiennes ».
A écouter sans modération !

Le martien dans la ville est produit et réalisé par Federica Di Sario et Aurélia Crémoux.

Le mixage et le montage sont de Federica Di Sario et Aurélia Crémoux.

Les musiques entendues au cours de cet épisode sont : Roots de Alice Merton, Here come the martian martians de Jonathan Richman & The Modern Lovers et Obiymy de Okean Elzy.

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Bande annonce

Nous vous parlons d'exil, d'identités multiples et de lien à la ville. Dans l'attente du premier épisode, découvrez nos voix dans la bande annonce.
La référence du livre à 2:08 est Playing big de Tara Mohr.

Le martien dans la ville est produit et réalisé par Fédérica Di Sario et Aurélia Crémoux.

Le mixage et le montage sont de Fédérica Di Sario et Aurélia Crémoux.

Les musiques entendues au cours de cet épisode sont : Roots de Alice Merton, Vanille fraise de L'Impératrice et Here come the martian martians de Jonathan Richman & The Modern lovers.